C’est poussé par le Saint-Esprit que les hommes parlent de la part de l’Eternel. Quel est l’esprit qui gouverne les pasteurs catholiques depuis qu’ils se sont engagés frénétiquement dans un mercenariat contre la République Démocratique du Congo et son peuple ne jurant que par son unité dans la diversité culturelle ? Loin de toutes considérations politiciennes, « Plus Jamais ça Asbl », organisation de la société civile, s’est déjà bien positionnée pour dénoncer et alerter quant aux velléités séparatistes et xénophobes qui hantent la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) ?
Décidément, il n’est plus à démontrer que ces pasteurs ont bel et bien perdu le nord et le latin. Dans une cathédrale à Lubumbashi, une scène mystique a bien tourné en ridicule quelques prêtres obscurantistes qui voulaient, à leur manière, prier pour la paix en RDC. Un petit pigeon noir a refusé de voler dans les airs de l’illusion pastorale.
Le symbolisme le plus pure indique la couleur blanche comme l’expression de la paix. Cependant, les ténèbres ont aussi leur couleur qui est l’absence de lumière… l’absence du Très Haut qui donne la paix dépassant toute intelligence.
L’incitation à la violence et la perturbation de l’ordre public semblent bien se conjuguer inexorablement dans l’agenda caché de certains prélats catholiques. Leur plaidoyer en faveur des swahiliphones qui, selon eux, feraient l’objet d’une stigmatisation, est une marque de fabrique d’une entreprise mal intentionnée et destinée à chambouler l’ordre public contrairement à cette recommandation divine : « Prier pour votre nation, car votre bonheur en dépend ».
Tous les éléments sont donc bien réunis pour accréditer la thèse d’une déviance sociétale constatée chez ceux qui ont la vocation d’intercéder pour leur pays. Tout le triste mérite leur revient au regard de leur exercice méphistophélique contre une Nation (la leur) qui est en proie à un complot international.
Félix Kalala/CP