Article 217: » la RDC peut conclure des traités ou des accords d’association ou de communauté comportant un abandon partiel de sa souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine ». Article piège. Nous allons plus tard expliquer au peuple congolais libre, l’esprit du législateur de l’époque pour piéger la République par une telle disposition. Rendez vous dans une conférence débat entre le secrétaire général de Pcco et la presse.
En effet, il y avait déjà modification de cette constitution en 2011, lire la loi No. 11/002 du 20 janvier portant révision de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006. Texte publié au journal officiel. Donc, la révision constitutionnelle n’est pas un délit punissable par nos lois ni tabou, il faut parler de ça pour amener notre peuple à ‘‘depieger’’ ce que Sun city avait placé pour atomiser le pays.
A cet effet, l’initiative de la révision constitutionnelle appartient concurremment :
- Au Président de la République ;
- Au gouvernement après délibération en conseil des ministres ;
- A chacune des chambres du parlement à l’initiative de la moitié de ses membres ;
- A une fraction du peuple congolais en l’occurrence 100.000 personnes s’exprimant par une pétition adressée à l’une de deux chambres. Article 218 de la constitution de 2006.
Ainsi dit, l’interprétation d’un texte est une libre opinion d’une personne. Aucune personne en RDC ne dispose d’une procuration de la constitution pour parler à son nom. Pour la constitution elle-même, sa modification n’est pas un délit punissable par nos lois. Elle présente au monde les mécanismes de sa révision. Parler de la révision comme un acte lié à un mandat électif est une mauvaise foi et un acte d’irresponsabilité. Notre constitution dispose d’une dialectique concernant sa révision et condamner cela prouver la méconnaissance de la philosophie politique de cette constitution de 2006. La révision d’une constitution est un acte Légal et officiel. Ce n’est pas de la politicaillard.
La Cour Constitutionnelle est l’unique autorité légale à présenter et de dire correctement la bonne lecture des dispositions de notre constitution. N’importe quel juriste présente seulement une opinion. Or, une opinion est toujours sujet d’interprétation. Libre interprétation à mes lecteurs mais ils peuvent venir aussi dans la conférence que nous allons organiser sur cette thématique pour présenter l’antithèse de notre dialectique.
Que dire de certaines dispositions verrouillées des articles de notre constitution ? La loi fondamentale d’une nation prévoit toujours le mécanisme de verrouillage et de déverrouillage de certains articles verrouillés. Notre constitution n’échappe pas à cette réalité. La constitution de 2006 dispose de la clé de déverrouillage de certains articles. Il faut être intelligent pour trouver la clé. Cette disposition de l’opération de verrouillage et déverrouillage de notre constitution existe même dans notre constitution. Rendez-vous pour bientôt où nous allons exploiter scientifiquement cette thématique. Chaque individu au monde dispose d’un code pour verrouiller son appareil Android. Une fois verrouillé son appareil Android, aucune autre personne ne peut acceder à ses informations. Il faut avoir accès à son code pour déverrouiller cet appareil Android. Celui qui dispose d’une adresse électronique dispose aussi de son propre code pour accéder facilement à son adresse mail afin de communiquer avec le monde. Celui qui ne dispose pas de ce code dira que cette adresse mail est verrouillé, impossible d’accéder à l’information de l’intéressé. Verrouiller signifie fermer hermétiquement. Or, aucune chose dans ce monde des hommes ne peut être fermée hermétiquement. Il existe toujours de code pour le déverrouillage de n’importe quel texte ou appareil. Penser que verrouiller signifie on ne peut pas toucher ni procéder à aucune opération de déverrouillage est une connaissance erronée de fonctionnement de l’humanité. Lorsqu’il y a un objet verrouiller, il y a une clé pour déverrouiller. La constitution d’une nation obéit aussi à ce mécanisme car il y a toujours une clé qui existe dans la constitution pour déverrouiller certaines dispositions pertinentes des articles verrouillés.
Sur ce , à l’aide de la théorie du principal à l’accessoire et du principe de parallélisme de forme et de compétence, appuyer par plusieurs théories que nous allons présenter au cours d’une conférence débat avec la presse, la clé de déverrouillage des articles verrouillés de notre constitution et plus de 50 articles pièges que l’ennemi veut occuper par ruse la République Démocratique du Congo. Le peuple d’une nation est maître de la constitution. Ce n’est pas le contraire. Cette constitution doit être révisée pour la sécurité de notre pays et de notre peuple.
Partout au monde, il faut une période pour expliquer pourquoi le peuple doit voter oui ou non pour la constitution. La constitution de la République Démocratique du Congo, sa campagne référendaire était passée sous une pression au peuple. Ne pas voter cette constitution signifie accepter la guerre d’agression. Il faut voter pour aller aux élections. Des thèmes de propagande mensongère ayant amené notre peuple de dire oui à cette constitution ce n’était pas sérieux. Maintenant, il faut analyser la constitution et dire la vérité au peuple. Le reste de la comédie romantique des politicaillard à la zairophilie ne me concerne. Suis congolais et leader marxiste, il est de mon devoir patriotique d’éclairer l’opinion nationale concernant plusieurs pièges des ennemis du Congo dans cette constitution.
Donc, l’opération de la révision de la constitution est d’ordre sécuritaire, Politique, et juridique. Notre lecture est pour la prospérité du Congo et de son peuple. Libre interprétation aux lecteurs… Rendez-vous à la conférence débat sur cette thématique avec la presse. La souveraineté de la République Démocratique du Congo est inaliénable. Personne n’a le droit de dire au peuple congolais d’abandonner partiellement sa souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine.
La patrie ou la mort, nous vaincrons !
Boswa Isekombe Sylvere
Secrétaire général de Parti Communiste Congolais. Le lion au cœur rouge.